Ce sont les feedbacks réguliers que j’ai observés avec mes clients qui m’ont inspirée pour cet article, que j'ai tenté de simplifier pour désacraliser ce fameux SEO.  

Chers clients, comme vous, je suis passée par là, jusqu’à franchir un cap pour essayer de comprendre : j'ai humanisé ce SEO.

C’est quoi le « SEO » ?

Search Engine Optimization : en français, c’est l’optimisation pour les moteurs de recherche.

C’est le référencement naturel, non payant, à travailler sur le long terme, pour se positionner au mieux sur le web via les moteurs de recherche.

A priori un concept ultra technique et dédié aux geeks, la question du SEO semble appartenir à un monde ultra compétent et fermé. 

C’est en partie vrai, mais c’est aussi possible de le rendre compréhensible … en l’humanisant.

En fait, il existe 2 types de SEO : 

• Le SEO purement algoritmique, technique (la machine)
• Et le SEO plus empirique, et même plutôt empathique (l'Homme)
  

Ouf, l’intelligence émotionnelle peut y trouver un peu sa place…

Il s’agit en fait d’optimiser un texte d'Humain, pour le rendre compréhensible et « intelligible » pour la lecture par les robots des moteurs de recherche.

Pour faire simple, les mots et les placements de mots sont des signaux envoyés aux algorithmes, ces fameux petits robots, qui détectent si votre approche rentre bien dans les cases établies pour les moteurs de recherche, pour les alimenter qualitativement. 

Pour simplifier, nous parlerons ici de Google.

Google est votre guide

Selon Statcounter, Google est le premier moteur de recherche, et reste le n°1 en Europe (et dans le monde) en octobre 2023, loin devant Microsoft Bing. Voici quelques chiffres pour en mesurer l’ampleur  :

France : Google à 90,8% – Bing à 4,66%, Yahoo! à 1,42%

Europe : Google à 92,11% – Bing à 3,44%, Yahoo! à 0,9%

Il va de soi que Google tient à maintenir sa première place ! 

Et maintenir sa première place, c’est maintenir sa réputation, et donc répondre exactement à la demande de son client. 

Fréquenteriez vous Google si il vous envoyait dans les choux ?

Google, en tant que guide, doit donc donner à ses utilisateurs exactement ce qu’ils recherchent, parler leur langage, répondre avec des informations cohérentes, envoyer sur des sites sérieux, viables et reconnus, rapides, sur lesquels les internautes restent (rétention), et se nourrissent.

Alors, de quelle manière garde-t-on sa place ?
(c’est valable sur internet et dans la « vraie vie ») :

En étant, et en s’entourant des meilleurs.

Vous êtes le guide de Google

Pour rédiger, il faut donc vous mettre à la place à la place de Google, et de la personne « de la vraie vie » qui va faire sa recherche sur le web.

C’est revenir à se mettre à la place de notre client idéal, donc de le connaître parfaitement, pour l’imaginer saisir sa recherche envoyée à son meilleur guide.

Mais en tant que créateur de contenu, vous devez vous placer encore au dessus et devenir le guide de Google.
Et lui donner le bon contenu.

Pourquoi ?

Google veut être humain

Un peu provocateur, ce titre veut mettre en exergue la valeur ajoutée que Google recherche derrière chaque contenu, soit tout ce qui est au plus proche de ce qui fait un Humain. 

Google aime votre storytelling, vos émotions, vos ressentis, votre intelligence analytique et émotionnelle, pour alimenter une IA qui devient chaque jour plus réactive en se nourrissant de vos données. 

Ce qu’il veut, c’est de l’intelligence, du jus de cerveau humain, de l’exponentiel, pour satisfaire ses besoins.

Il n’a que faire du copier/coller, en plus, il le pénalise.

Il veut de la nouveauté.

Et techniquement ?

Pour remonter en référencement, lorsqu’on débute, le mieux est de se placer en « longue traîne » (recherche par assemblage de mots), plutôt que de se positionner sur des mots clés forts déjà largement utilisés par les sites en tête de liste.

Techniquement, tous ces mots clés doivent apparaître dans votre site web à des endroits stratégiques appelés balises meta : titres <H1> <H2> etc, qui sont les guides de lecture pour les robots de Google.
Là, c’est vous qui guidez.

Humaniser sa communication, c’est aussi être présent sur les réseaux de rencontres humaines, les médias sociaux comme LinkedIn, Meta, ou encore X, garants de votre image de marque et de votre bonne réputation si elle est bien travaillée.

Car ces interactions font partie de l’algorithmie.
C'est pourquoi les communautés sont très fortes en terme de visibilité.
L'algorithme favorise largement les partages de contenus.
Liker, commenter, partager sont les tremplins vers le succès.

Le SEO, c’est aussi avoir une présence soignée sur Google My Business, et avoir des avis clients authentiques, gages de confiance aussi bien pour l’algorithme que pour les internautes.

Une seule première place

On l’a bien compris, la compétition est rude, et le SEO ne s’arrête pas à des mots clés. 

Il s’agit de contenus nouveau pour alimenter la machine.
Et donc ? que recherche l'Humain ?
Du renouveau, de l'émotion, de l'amour, du clivant, de l'adrénaline, de l'ocytocine, etc...

C’est faire preuve de régularité dans les publications, via un blog par exemple (Google n’envoie pas sur des sites « morts »), et de confiance : penser à intégrer des backlinks dans vos sites web - soit des liens vers d’autres sites reconnus et actifs.

C'est interagir en communautés.

Intégrer les portails est une solution pérenne aussi, puisque ce sont ces mastodontes qui tiennent la première place. 

Car il ne faut pas rêver, une première place coûte très cher. 

Elle se gagne aussi avec la publicité payante (SEA) qui permet de gravir les marches plus rapidement, mais à plus court terme.

En conclusion, le référencement peut se résumer à 3 piliers fondamentaux à équilibrer : l’Humain (la confiance), la technique (les robots), et la publicité (les moyens).
Et le référencement naturel (SEO), lui, s'acquiert grâce au contenu viral.

So, like me !
:)

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